• Virtuose excentrique, richissime show business man, Liberace, star de Las Vegas et du mauvais goût dans les années 70/80, était un pianiste particulièrement inclassable.

    Voici l'oiseau rare, posant devant l'une de ses piscines (car il possédait de nombreuses villas...) :

    Le piano-piscine de Liberace...

    Je me demande si il avait "Jeux d'eau" de Ravel à son répertoire ???


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  • Décidémment, je vais finir par y voir un signe du destin !wink2

    J'ai encore croisé un beau piano Pleyel. Un petit piano à queue : un crapaud ? Ou quart de queue ? Je ne saurais dire, mais une chose est sûre, il est vraiment joli !

    Encore un Pleyel !

    C'était hier soir, au cocktail qui a suivi la visite privée de l'exposition Caillebotte, à Yerres (que je recommande, d'ailleurs).

    Je n'ai pas osé l'essayer, mais j'ai beaucoup tourné autour !!!

    Encore un Pleyel !


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  • Le piano SNCF...

    Après le sandwiche SNCF, voici le piano SNCF happy

    C'est un YAMAHA qui est mis à la disposition des voyageurs de la gare de PARIS Gare de LYON, un peu comme les pianos "PLAY ME, I'M YOUR'S" disséminés l'été dans certaines grandes villes européennes.

    J'ai testé avec la Sarabande de HAENDEL, mais l'essai ne fut pas très concluant : certaines touches ne fonctionnement pas et le piano n'est pas accordé ! oh

    Enfin bon, c'est marrant tout de même !

     


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  • Apprendre le piano, c'est avant tout s'astreindre à une méthode de travail régulière et rigoureuse.

    Lorsque j'ai commencé, j'avais tendance à faire un peu n'importe quoi. Ma prof ne m'avait donné aucune indication précise sur la manière de travailler. Comme elle ne m'avait également pas initié aux exercices techniques et aux gammes, j'attaquais donc directement les partitions et, lorsque je butais sur une difficulté, je reprenais le morceau à la première mesure...

    Résultat : je maîtrisais bien le début du morceau, jusqu'à la difficulté que je n'arrivais pas à surmonter ! Que de temps perdu...

    Avec ma nouvelle prof, les choses ont changé dans le bon sens, car je pense avoir fait quelques progrès.

    Tout d'abord, j'évite de commencer à "attaquer" directement un morceau. Je commence par travailler les gammes, arpèges et autres accords de 7ème de dominante. Il m'arrive aussi de travailler des exercices d'assouplissement. En tout état de cause, j'essaie d'articuler les doigts le plus possible et de bien tenir mes coudes, pour alléger les mains. Ce n'est pas si facile, car j'ai tendance à oublier ces deux "détails", qui ont pourtant une grande importance.

    Je fais ces exercices en marquant les accents: 1 note sur 2 sur 2 octaves, 1 note sur 3 sur 3 octaves, 1 note sur 4 sur 4 octaves. Je termine l'exercice en jouant sur tout le clavier, sans accent : çà aide à bien intégrer les mouvements du corps.

    En général, je consacre environ 10 à 15 minutes à ces exercices.

    Ensuite, je travaille la partition du moment (jamais plus de deux en même temps). Si je rencontre une difficulté, je répète autant de fois qu'il le faut le passage qui me pose problème pour avoir un résultat satisfaisant (donc 1, 2 ou 3 mesures, pas plus). Lorsque la difficulté est surmontée, je reprends à la première mesure, pour inscrire le passage ainsi travaillé dans l'ensemble de la partition.

    Il m'arrive aussi, lorsqu'un passage contraste fortement avec le reste, comme, par exemple, les 4 dernières mesures du Prélude n°1 de Bach reproduites ci-dessous, de le travailler indépendamment du reste de la partition, afin de le maîtriser parfaitement. Pour reprendre l'exemple du Prélude, je connais maintenant par coeur ces 4 dernières mesures, ce qui m'évite de buter dessus quand j'y arrive, bien que le texte marque une rupture par rapport à celui qui le précède :Ma méthode de travail...

    Au début de l'apprentissage d'un morceau, je travaille également souvent mains séparées. J'y reviens aussi quand une difficulté ne passe pas et qu'il me faut décortiquer, à la manière d'un chirurgien, la partition pour bien l'intégrer.

    L'idée est d'arriver à surmonter l'essentiel des difficultés techniques avant de travailler les nuances et l'expression.

    Lorsque celles-ci sont maîtrisées, ma prof me demande de jouer le morceau par coeur. Cà me permet enfin de me libérer de la lecture, pour me concentrer davantage sur l'expression, ce qui est très grisant.

    Je consacre au travail des partitions au moins 15 minutes par jour, sachant que çà me prend le plus souvent 30 à 45 minutes (plaisir oblige !).

    Voilà ! Je pense que cette méthode de travail n'a rien d'extraordinaire, mais elle me convient parfaitement pour le moment et m'a permis de progresser dans mon apprentissage.

    Je reviendrai ultérieurement un peu plus en détails sur certains aspects de celui-ci.

    Et vous ? Est-ce que vous vous reconnaissez dans cette méthode de travail ? Qu'en pensez-vous ?


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  • Je dois l'avouer, depuis que je me suis mis au piano, je me suis découvert une perversion complètement inattendue ! wink2

    J'ai honte, j'ose à peine en parler, et pourtant, il faut bien l'avouer : j'éprouve une passion quasi-fétichiste pour les pianos !!! sarcastic

    Vous me direz qu'il y a pire, comme perversion...

    Je trouve en effet que les pianos acoustiques sont très beaux, séduisants, attirants même. J'ai envie de les toucher, d'en jouer et de les faire chanter... C'est finalement un objet très sensuel !

     

    Bon, c'était mon petit délire du jour !!! clown

    En attendant, j'ouvre cette nouvelle rubrique consacrée aux beaux pianos, et je vous laisse le plaisir de découvrir celui sur lequel j'ai eu l'occasion de jouer samedi dernier :

    J'avoue que si on devait me le donner, je serais preneur !!!

    Voici également une photo du pianoforte, ancêtre de nos pianos actuels, croisé avant-hier sur mon chemin... :

     

    Quand je vous dis qu'un piano, c'est beau !

    J'aime bien faire des rencontres comme celles-là !!! smile


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